Photo de Formule 1 rétro à nos jours au salon Rétromobile 2025 par Axidrone-Photographie

Les Formule 1 made in France chez Rétromobile

Axidrone-Photographie immortalise l'épopée de la Formule 1 française à Rétromobile 2025

La Formule 1 tricolore à Rétromobile 2025

Rétromobile 2025 a célébré l’histoire de la F1 française avec l’exposition « La Formule 1 tricolore des années 60 à nos jours ». Axidrone-Photographie a saisi l’enthousiasme des passionnés pour ces mécaniques d’époque.

L’exposition retraçait l’évolution des monoplaces françaises, de la Matra MS80 à la Renault RE20, rendant hommage aux pilotes et constructeurs tricolores tels qu’Alain Prost et Jean-Pierre Beltoise.

18 F1 exposées Hall 2

Le Hall 2 abritait 18 F1, offrant un panorama complet de l’engagement français dans cette discipline. Chaque voiture était accompagnée d’une fiche descriptive.

Une expérience pour tous

Cette exposition était une plongée unique dans l’histoire de la F1 française, un événement marquant de Rétromobile 2025.

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Parcourez la Page et Découvrez l'Historique de Chaque Formule 1 Présentée au Hall 2 !

Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir ces légendes de la Formule 1 et de revivre les moments forts de leur histoire. Explorez chaque section dédiée à ces voitures mythiques et plongez dans leurs incroyables parcours.

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la Matra MS80

En 1969, la Matra MS80 marque l’histoire de la Formule 1 en remportant le championnat du monde des constructeurs, avec le pilote écossais Jackie Stewart comme principal protagoniste. Ce modèle, conçu par l’équipe française Matra et dirigé par l’ingénieur Maurice Philippe, était une voiture innovante, notamment grâce à son châssis en aluminium et son moteur V8 Ford Cosworth, qui lui offrait une excellente fiabilité et une performance remarquable.

La saison 1969 a été marquée par une concurrence féroce, mais Stewart, avec sa conduite précise et stratégique, a su tirer parti de l’exceptionnelle stabilité de la MS80. Son premier grand succès avec la voiture vint au Grand Prix de France, où il décrocha la victoire. Ce triomphe, suivi de plusieurs podiums, propulsa Stewart vers son premier titre de champion du monde des pilotes, un exploit qui était aussi une victoire pour Matra en tant que constructeur.

La Matra MS80, bien que présente seulement pendant une saison, restera un symbole de l’ingéniosité française et de la montée en puissance de Jackie Stewart, qui allait devenir une légende de la Formule 1.

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la March 711

Lors du Grand Prix d’Espagne 1972, la March 711 N°27, pilotée par le pilote Française Henri Pescarolo, marque un moment clé de la saison . Bien que Pescarolo ne termine pas sur le podium, la performance de la voiture, équipée d’un moteur Ford Cosworth , témoigne de l’ascension de March dans la compétition. La 711, qui se distingue par son châssis léger et son excellent équilibre, montre tout son potentiel, en particulier sur des circuits sinueux comme celui de Montjuïc. Bien que Pescarolo n’ait pas remporté cette course, il a fait preuve de talent au volant d’une machine qui allait devenir une référence de la saison.

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Williams FW04

La Williams FW04 de 1975 est une voiture emblématique de l’écurie Williams, marquant le début de l’ascension de cette équipe dans le monde de la Formule 1. Conçue par Frank Williams et Patrick Head, cette voiture a jeté les bases de ce qui allait devenir l’une des écuries les plus respectées et compétitives de l’histoire de la F1.

La touche française qui a contribué à la légende de cette voiture est incarnée par le pilote Jacques Laffite. Laffite, avec son talent et son audace, a su tirer le meilleur parti de la FW04, malgré ses limitations techniques par rapport aux voitures des grandes écuries de l’époque. Sa performance au volant de la FW04 a non seulement mis en lumière ses compétences de pilote, mais a également attiré l’attention sur le potentiel de l’écurie Williams.

Bien que la FW04 n’ait pas remporté de victoires, elle a posé les fondations pour les futurs succès de Williams. La collaboration entre Frank Williams, Patrick Head et Jacques Laffite a été cruciale pour le développement de l’équipe, qui allait plus tard dominer la F1 avec des pilotes comme Alan Jones, Keke Rosberg et Nigel Mansell. La FW04 reste ainsi un symbole important de l’histoire de Williams, témoignant des débuts modestes mais déterminés de l’écurie.

L'Alpine A500

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L’Alpine A500 de 1976 est une monoplace de Formule 1 qui marque les débuts de l’aventure de Renault dans le championnat du monde de F1. Conçue par l’ingénieur André de Cortanze pour Alpine, cette voiture était équipée d’un moteur V6 turbocompressé Renault-Gordini, une innovation majeure à l’époque.

L’A500 a été développée dans le plus grand secret à Dieppe, et ses premiers tests ont été réalisés par le pilote français Jean-Pierre Jabouille. Les essais ont commencé dès 1975 sur divers circuits, notamment à Jarama en Espagne. La voiture, initialement peinte en noir, a ensuite été repeinte en jaune, une couleur symbolique pour Renault.

L’A500 a servi de banc d’essai pour tester le moteur turbo et diverses solutions techniques avant que Renault ne s’engage pleinement en Formule 1. Les tests ont permis à Renault de mettre au point son turbo et de réduire son temps de réaction, préparant ainsi le terrain pour la future Renault RS01, qui a fait ses débuts en F1 en 1977.

La contribution française à la légende de l’A500 est incarnée par Jean-Pierre Jabouille, qui a joué un rôle crucial dans le développement de la voiture. Ses compétences et son expérience ont été essentielles pour affiner la monoplace et préparer Renault à relever les défis de la Formule 1.

La Renault RS10 de 1979

La Renault RS10 de 1979 est une voiture emblématique de l’histoire de la Formule 1, marquant une révolution technologique avec l’introduction du moteur turbocompressé. Conçue pour la saison 1979, la RS10 est devenue la première voiture de F1 équipée d’un moteur turbo à remporter un Grand Prix.

Développée par Renault, la RS10 était propulsée par un moteur V6 turbocompressé de 1,5 litre, une innovation majeure à une époque où les moteurs atmosphériques dominaient le championnat. La voiture a été introduite au Grand Prix d’Espagne 1979, et bien que des problèmes de fiabilité aient persisté, sa performance a rapidement attiré l’attention.

Le pilote français Jean-Pierre Jabouille a joué un rôle crucial dans le développement et le succès de la RS10. Ingénieur de formation, Jabouille a travaillé sur le moteur turbo de Renault depuis 1977, apportant ses compétences techniques et son expérience de pilote pour affiner la voiture. Son travail a porté ses fruits lors du Grand Prix de France 1979 à Dijon-Prenois, où il a remporté une victoire historique, marquant la première victoire d’une voiture à moteur turbo en Formule 1.

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La RS10 a également été mémorable pour son duel épique entre René Arnoux, le coéquipier de Jabouille, et Gilles Villeneuve de Ferrari, lors de ce même Grand Prix de France. Ce duel a captivé les spectateurs et a contribué à la légende de la RS10

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En résumé, la Renault RS10 de 1979 a ouvert une nouvelle ère en Formule 1 grâce à son moteur turbo innovant et aux performances exceptionnelles de ses pilotes, notamment Jean-Pierre Jabouille. Cette voiture a non seulement marqué l’histoire de Renault en F1, mais a également influencé le développement des moteurs turbo dans le sport automobile

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La Renault RE40 de 1983

La Renault RE40 de 1983 est une voiture de Formule 1 conçue par Michel Têtu sous la direction de Bernard Dudot, avec une aérodynamique développée par Jean-Claude Migeot. Cette voiture a été construite pour la saison 1983 de Formule 1, après l’interdiction des effets de sol à la fin de 1982.

La RE40 était équipée d’un moteur V6 turbocompressé de 1,5 litre, produisant environ 880 chevaux. Cependant, des problèmes de fiabilité avec les turbocompresseurs ont souvent entravé les performances de la voiture.

La RE40 a été la première châssis Renault entièrement construite en fibre de carbone, avec une construction confiée à Hurel-Dubois, des spécialistes de la fibre de carbone avec une expérience dans l’aérospatiale. Cette innovation a permis d’améliorer la légèreté et la résistance de la voiture.

Le pilote français Alain Prost a conduit la RE40 et a remporté quatre victoires au cours de la saison, malgré des frustrations liées aux problèmes de fiabilité. Prost a apprécié la conduite de la RE40, la décrivant comme une « voiture magnifique » et regrettant que Renault n’ait pas pu maintenir une performance constante pour remporter le championnat

La Ferrari 156-85 de 1985

La Ferrari 156-85 de 1985 est une monoplace de Formule 1 conçue par l’écurie Ferrari pour la saison 1985. Cette voiture a permis à l’Italien Michele Alboreto de lutter pour le championnat du monde des pilotes face à Alain Prost sur McLaren. Le second pilote de Ferrari pour cette saison était le Français René Arnoux, qui a été remplacé dès la deuxième manche de la saison par le Suédois Stefan Johansson.

La Ferrari 156-85 succédait à la Ferrari 126 C4 de 1984 et était équipée d’un moteur V6 turbocompressé. Lors de la première manche de la saison au Brésil, Michele Alboreto, parti en pole position, a terminé deuxième, tandis que René Arnoux a fini quatrième.

Cependant, la deuxième partie de la saison a été moins réussie pour Ferrari. Les McLaren et leur moteur V6 Turbo TAG Porsche ont fait d’énormes progrès en matière de puissance et d’exploitation des pneumatiques. Pour compenser, Ferrari a augmenté la pression de suralimentation du moteur de la 156-85, ce qui l’a rendu plus fragile.

Michele Alboreto a terminé deuxième du championnat du monde 1985 avec 53 points, derrière Alain Prost, tandis que Stefan Johansson a fini septième avec 26 points. René Arnoux, malgré son départ précoce, a terminé dix-septième avec 3 points. Ferrari a pris la deuxième place du championnat des constructeurs avec 82 points, à huit points de McLaren

En résumé, la Ferrari 156-85 de 1985, pilotée par René Arnoux et Michele Alboreto, a marqué la saison 1985 de Formule 1 par ses performances initiales prometteuses, mais a souffert de problèmes de fiabilité en fin de saison.

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Ferrari F92A de 1992

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La Ferrari F92A de 1992, souvent appelée à tort Ferrari F092, a été conçue par Jean-Claude Migeot pour la saison de Formule 1 de 1992. Pilotée par le Français Jean Alesi, cette voiture a connu une saison difficile marquée par des problèmes de fiabilité et de performance.

La F92A a été introduite avec deux versions : l’originale pour les onze premières courses et la version mise à jour F92AT pour la fin de la saison. La voiture présentait un design innovant avec un « nez surélevé » pour améliorer l’aérodynamique, mais ces innovations n’ont pas suffi à compenser ses défauts

Jean Alesi, malgré les défis techniques, a réussi à obtenir deux podiums avec la F92A, démontrant son talent et sa détermination. Cependant, la voiture a souffert de nombreux problèmes de fiabilité, notamment des fuites d’huile et des sorties de piste, limitant ainsi ses performances globales

En résumé, la Ferrari F92A de 1992, pilotée par Jean Alesi, a été une saison décevante pour Ferrari, mais elle a permis à Alesi de montrer son potentiel malgré les limitations techniques de la voiture.

McLaren MP4/9 de 1994

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La McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été conçue par Neil Oatley pour la saison de Formule 1 de 1994. Équipée d’un moteur Peugeot, cette voiture a marqué la première saison complète de Häkkinen avec l’équipe McLaren.

La MP4/9 a connu une saison difficile en raison de problèmes de fiabilité du moteur, avec des pannes fréquentes et spectaculaires. Malgré ces défis, Häkkinen a réussi à obtenir six podiums, démontrant son talent et la puissance du moteur lorsqu’il fonctionnait correctement.

La voiture, avec son design distinctif et son moteur Peugeot, a été la dernière McLaren à utiliser cette configuration avant que l’équipe ne passe à un partenariat avec Mercedes en 1995.

En résumé, la McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été une saison mitigée pour McLaren, mais elle a permis à Häkkinen de montrer son potentiel malgré les problèmes techniques.

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La Benetton Renault B195 de 1995

La Benetton Renault B195 de 1995, pilotée par Michael Schumacher, a été une voiture emblématique de la saison de Formule 1 de 1995. Conçue pour défendre le titre de champion du monde de Schumacher, la B195 a dominé la saison avec neuf victoires en Grand Prix et une avance de plus de 30 points sur le deuxième, Damon Hill.

La B195, équipée d’un moteur Renault, a permis à Schumacher de remporter son deuxième titre consécutif de champion du monde des pilotes. La voiture était non seulement performante mais aussi fiable, ce qui a contribué à la domination de Schumacher tout au long de la saison

La Benetton Renault B195 de 1995, pilotée par Michael Schumacher, a marqué la saison 1995 de Formule 1 par ses performances exceptionnelles, permettant à Schumacher de remporter son deuxième titre mondial consécutif.

Ferrari F92A de 1992

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La Ferrari F92A de 1992, souvent appelée à tort Ferrari F092, a été conçue par Jean-Claude Migeot pour la saison de Formule 1 de 1992. Pilotée par le Français Jean Alesi, cette voiture a connu une saison difficile marquée par des problèmes de fiabilité et de performance.

La F92A a été introduite avec deux versions : l’originale pour les onze premières courses et la version mise à jour F92AT pour la fin de la saison. La voiture présentait un design innovant avec un « nez surélevé » pour améliorer l’aérodynamique, mais ces innovations n’ont pas suffi à compenser ses défauts

Jean Alesi, malgré les défis techniques, a réussi à obtenir deux podiums avec la F92A, démontrant son talent et sa détermination. Cependant, la voiture a souffert de nombreux problèmes de fiabilité, notamment des fuites d’huile et des sorties de piste, limitant ainsi ses performances globales

En résumé, la Ferrari F92A de 1992, pilotée par Jean Alesi, a été une saison décevante pour Ferrari, mais elle a permis à Alesi de montrer son potentiel malgré les limitations techniques de la voiture.

McLaren MP4/9 de 1994

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La McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été conçue par Neil Oatley pour la saison de Formule 1 de 1994. Équipée d’un moteur Peugeot, cette voiture a marqué la première saison complète de Häkkinen avec l’équipe McLaren

La MP4/9 a connu une saison difficile en raison de problèmes de fiabilité du moteur, avec des pannes fréquentes et spectaculaires. Malgré ces défis, Häkkinen a réussi à obtenir six podiums, démontrant son talent et la puissance du moteur lorsqu’il fonctionnait correctement

La voiture, avec son design distinctif et son moteur Peugeot, a été la dernière McLaren à utiliser cette configuration avant que l’équipe ne passe à un partenariat avec Mercedes en 1995

En résumé, la McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été une saison mitigée pour McLaren, mais elle a permis à Häkkinen de montrer son potentiel malgré les problèmes techniques.

McLaren MP4/9 de 1994

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La McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été conçue par Neil Oatley pour la saison de Formule 1 de 1994. Équipée d’un moteur Peugeot, cette voiture a marqué la première saison complète de Häkkinen avec l’équipe McLaren

La MP4/9 a connu une saison difficile en raison de problèmes de fiabilité du moteur, avec des pannes fréquentes et spectaculaires. Malgré ces défis, Häkkinen a réussi à obtenir six podiums, démontrant son talent et la puissance du moteur lorsqu’il fonctionnait correctement

La voiture, avec son design distinctif et son moteur Peugeot, a été la dernière McLaren à utiliser cette configuration avant que l’équipe ne passe à un partenariat avec Mercedes en 1995

En résumé, la McLaren MP4/9 de 1994, pilotée par Mika Häkkinen, a été une saison mitigée pour McLaren, mais elle a permis à Häkkinen de montrer son potentiel malgré les problèmes techniques.

Williams Renault FW 19

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La Williams Renault FW19 de 1997, pilotée par Jacques Villeneuve, a été une voiture emblématique de la saison de Formule 1 de 1997. Conçue par Adrian Newey et Patrick Head, la FW19 était équipée d’un puissant moteur Renault V10, ce qui en faisait une voiture redoutable sur la piste.

Jacques Villeneuve, au volant de la FW19, a remporté le championnat du monde des pilotes 1997, battant Michael Schumacher de seulement trois points. La saison a été marquée par une compétition intense, culminant lors du Grand Prix d’Europe à Jerez, où Villeneuve a sécurisé le titre dans des circonstances dramatiques.

La FW19 a également permis à l’équipe Williams de remporter le championnat des constructeurs, avec un total de 123 points. La voiture a enregistré huit victoires, onze pole positions, neuf meilleurs tours et quinze podiums au cours de la saison

La Williams Renault FW19 de 1997, pilotée par Jacques Villeneuve, a marqué l’histoire de la Formule 1 par ses performances exceptionnelles, permettant à Villeneuve de remporter le titre mondial et à Williams de dominer le championnat des constructeurs.

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Jordan 197 de 1997,

Le coup de cœur d'Axidrone!

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La Jordan 197 de 1997, pilotée par Giancarlo Fisichella, a été une voiture emblématique de la saison de Formule 1 de 1997. Conçue par l’équipe Jordan, la 197 était équipée d’un moteur Peugeot et arborait une livrée distinctive avec des motifs de serpent, ce qui lui a valu le surnom de « snake.

Giancarlo Fisichella, aux côtés de Ralf Schumacher, a montré son talent tout au long de la saison. Il a obtenu son premier podium en Formule 1 lors du Grand Prix du Canada et a failli remporter la course à Hockenheim, mais une crevaison l’en a empêché. Fisichella a également brillé sous la pluie au Grand Prix de Belgique, où il a terminé deuxième.

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La Jordan 197 a été immortalisée par des photographies exceptionnelles, capturant l’essence de l’équipe et de ses pilotes. Ces images, prises par des photographes de renom, ont saisi des moments mémorables de la saison 1997, mettant en valeur la livrée unique et les performances des pilotes.

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la Jordan 197 de 1997, pilotée par Giancarlo Fisichella, a marqué la saison par sa livrée distinctive et les performances prometteuses de Fisichella, contribuant à l’héritage de l’équipe Jordan en Formule 1.

F1 PROST AP03 N°2 2000

La Prost AP03 de 2000, pilotée par Jean Alesi, a été la voiture avec laquelle l’écurie Prost a participé à la saison de Formule 1 de 2000. Conçue par Alan Jenkins, Loïc Bigois et John Barnard, cette monoplace était équipée d’un moteur Peugeot, qui s’est avéré peu puissant et peu fiable, entraînant de nombreux abandons et des performances décevantes

Malgré ces défis, Jean Alesi a réussi à se qualifier en huitième position à Monaco et à courir en quatrième position à Spa-Francorchamps avant d’abandonner. Cependant, ces moments de brillance n’ont pas suffi à compenser les problèmes récurrents de la voiture.

La saison 2000 a été marquée par des tensions entre Prost et Peugeot, ce qui a conduit au retrait de Peugeot de la Formule 1 en tant que fournisseur de moteurs. L’écurie Prost a terminé la saison sans aucun point, se classant à la dernière place du championnat des constructeurs.

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F1 TORO ROSSO STR8

La Toro Rosso STR8 de 2013, pilotée par Jean-Éric Vergne, a été conçue par Scuderia Toro Rosso pour la saison de Formule 1 de 2013. Cette voiture, équipée d’un moteur Ferrari, a été la dernière de l’écurie à utiliser un moteur V8 avant de passer à Renault en 2014.

Jean-Éric Vergne, aux côtés de son coéquipier Daniel Ricciardo, a piloté la STR8 tout au long de la saison. Vergne a obtenu son meilleur résultat de l’année avec une sixième place au Grand Prix du Canada, ce qui a également été sa meilleure performance en Formule 1 à ce jour.

Cependant, la STR8 s’est avérée peu fiable, notamment lors des courses européennes, avec plusieurs abandons dus à des problèmes techniques. Malgré ces défis, Vergne a démontré ses compétences sur des circuits où la puissance du moteur était moins cruciale, obtenant des résultats compétitifs.

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La Toro Rosso STR8 de 2013, pilotée par Jean-Éric Vergne, a été une saison mitigée pour l’écurie et le pilote, avec des moments forts mais aussi des défis techniques et de fiabilité.

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